Un petit blog que j’utilise pour dire ce que je pense (catégorie points saillants) et aussi comme bloc notes pour me souvenir de petits détails

Pour ceux qui se demandent d’où vient l’idée de catarak, en voici l’historique.

L’auteur du site est un petit geek. En deçà du 2000 points au « geek test ». Je suis chargé de cours à l’Université de Sherbrooke depuis plusieurs années et je travaille aussi au Laboratoire DOMUS comme analyste.

Je tente de maintenir ces pages à jour et d’y mettre le contenu qui m’intéresse. Voilà tout. Francis Bouchard B. est un simple papa de trois adorables filles, Émilie, Arianne et Chloé (eh oui! pour ceux qui ne le savaient pas!).

Philosophe manqué (probablement héréditaire du côté paternel), il a tenté de trouver réponses à la fameuse question: POURQUOI ? sans jamais trouver de réponse absolue. Probablement parce qu’il n’y en a PAS!

Un mot que mon meilleur ami de l’époque m’a écrit pour mon album de finissant:

Francis Bouchard,

Que fait-il ici ? Pourquoi on ne le voit pas ? Ou… pourquoi le verrai-t-on ? Pourquoi ne serait-il pas partout ailleurs où, d’ailleurs, il a dû aller (ailleurs) pour ne pas y rester d’ailleurs ? Pourtant, on se doute que dans cet esprit le doute d’être partant pour partir ailleurs bientôt, tantôt, plus tard que trop tard, le regard hagard qu’on ne voit pas d’ailleurs car il était encore ailleurs. Les photographes sont plus souvent derrière les image…

Pourquoi tant de pourquoi et d’ailleurs ? Car « pourquoi » est la question favorite de Francis qui, d’ailleurs, préfère aller voir ailleurs pour mettre en valeur ses réponses. Tel un vagabond, il traversa le Canada pour comprendre que le Francis de l’ouest n’explique pas celui de l’est. Il ne sont que deux profils d’un même visage qui se trouve là où il se trouve et non pas là où il se cherche. Tel un sage, il chercha réponse à ses énigmes jusqu’aux hauts sommets du Pérou.

Ainsi, Francis chercha pendant des années à se comprendre pour se retrouver à chercher l’algorithme qui économisera quelque nanoseconde à une machine qui ne comprendra jamais.

Autour de lui, souvent, « Les gens sont choqués. Ils ont oublié qu’un enfant a besoin de jouer, d’être un peu irrévérencieux, de poser des questions inconvenantes et immatures, de dire des sottises auxquelles lui-même ne croit pas. » Paulo Coelho. L’enfant en Francis est plus grand que bien des grands, d’où son pouvoir de voir.

Sébastien